La Swertie vivace
Swertia perennis

  • Swertie vivace - Swertia perennis
  • Swertie vivace - Swertia perennis
  • Swertie vivace - Swertia perennis
  • Swertie vivace - Swertia perennis
  • Swertie vivace - Swertia perennis
  • Swertie vivace - Swertia perennis

Nom commun : Swertie vivace (Nom féminin)
Nom scientifique : Swertia perennis
Ordre : Gentianales
Famille : Gentianacées
Taille : 20-50 cm
Diamètre de la fleur : 15-30 mm
Couleur(s) florale :
Floraison : juillet à septembre

Fiche descriptive

La Swertie vivace - Swertia perennis

Nom scientifique
complet
: Swertia perennis L., 1753
Synonyme(s) latin(s) : Blepharaden perennis, Gentiana palustris, Gentiana paniculata
Autre(s) appellation(s) : Swertie pérenne
Habitat
et répartition
: Marais et prés tourbeux des hautes montagnes - Jura ; Alpes ; Pyrénées ; Auvergne et Aubrac ; Aisne et environs de Paris. – Europe centrale et méridionale, jusqu'au Caucase.
Végétation associée
(phytosociologie)
: Hémicrypto-géophytaies des tourbières holarctiques
Altitude : 200 - 2400 mètres
Statut
de protection
: Protégée dans les régions Champagne-Ardennes, Rhones-Alpes, Auvergne, Bourgogne et dans le département de l’ Aveyron

Description (Flore de l'Abbé Coste) : Plante vivace de 20-60 cm, glabre, à souche courte, tronquée ; tiges dressées, raides, simples, peu feuillées ; feuilles ovales ou oblongues-lancéolées, à 5-7 nervures, les inférieures longuement pétiolées, les supérieures sessiles ; fleurs d'un bleu violacé, ponctuées de noir, pédonculées, en panicule terminale interrompue ; calice en roue, à 5 lobes très profonds, lancéolés-linéaires ; corolle marcescente, en roue, divisée jusqu'à la base en 5 lobes lancéolés, étalés, portant chacun à la base 2 fossettes nectarifères à bords ciliés ; 5 étamines ; style nul, 2 stigmates sessiles ; capsule ovoïde, à 1 loge, à 2 valves, à graines ailées.
Remarque : si des différences existent concernant les tailles ou la période de floraison entre la description de la flore de Coste et celles mentionnées ci-dessus. Il ne s'agit pas d'erreurs, mais d'une actualisation des données.
Référence Flora Gallica : Page 778